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Souvenirs de mes séances

Jusqu’à maintenant, j’ai utilisé trois moyens de garder en mémoire mes séances :


Je prends des photos – lorsque mon soumis est à l’aise avec ça et que le moment s’y prête. J’utilise pour cela mon appareil photo ou bien mon téléphone. Je ne prends jamais les visages en photo, ou seulement si mon soumis me le propose. Je fais cela pour mon plaisir personnel, pour conserver un souvenir de certaines séances, dont l’intensité de l’instant ou la puissance esthétique me frappe. Par la suite, j’apprécie les poster sur mon Twitter et mon Tumblr pour faire partager ce vécu. Si vous souhaitez participer au cours d’une séance, n’hésitez pas à m’en faire part dans votre mail de présentation.


J’écris, parfois. C’est une une manière de me souvenir de mes meilleures séances. Ecrits en français puis traduits en anglais, ils relatent le déroulement de mes séances à Hong-Kong et à Paris, agrémenté de mon ressenti sur ces rencontres extraordinaires dont je ne me lasse pas.


Récemment à Hong-Kong, j’ai décidé d’écrire un peu de poésie pour explorer cette part de mes séances. Sans prétention, mais suivant les règles formelles de deux formes de poésie créées en Asie : en Chine le Jueju, une forme du Jintishi (Wiki) et le populaire Haiku japonais (Wiki).


Ca pourrait sembler décalé ou prétentieux ? L’excellent auteur et poète Ta-Nehisi Coates a livré une intéressante réponse à cette question dont voici un extrait : » « Poetry was the processing of my thoughts until the slag of justification fell away, and I was left with the cold steel truths of life. »


Enjoy !


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